Lundi 16 avril 2007
Nous allons nous intéresser maintenant aux déplacements et aux transports. Nous ferons une première constatation : peu apte à se déplacer rapidement sur de longues distances, limité dans ses capacités à transporter des charges, l’homme primitif était condamné à la sédentarité.
Cette situation était incompatible avec sa curiosité naturelle et ses capacités cognitives. Il n’a cessé d’envier les animaux qui étaient plus favorisés que lui par la nature : ceux aptes à la course, ceux dotés de la force, ceux capables de nager, ceux enfin capables de voler. Il a imaginé des machines susceptibles de les imiter et peu à peu il les a dépassés. Mais ceci ne s’est pas fait sans mal vis-à-vis du monde vivant lui-même, c’est ce que j'examine dans les billets suivants :
- Homme et animal : des différences importantes en ce qui concerne les déplacements
- La route, sublime invention de l'homme...
- Routes et autoroutes : une catastrophe environementale
- Le réseau ferré lui aussi en faute
- Illustration des dégats écologiques provoqués par une voie ferrée
- Et l'homme découvrit la navigation...
- Le transport par bateau à l'heure de la mondialisation
- Navigation Fluviale
- La navigation : aussi un moyen de détente destructeur
- Le transport aérien
Les questions environnementales vous intéressent-elles ? Vous pouvez enrichir vos connaissances et acquérir une vision globale de ces problèmes en lisant mon dernier livre : « Environnement, l’Hypothèque Démographique ».
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