Mercredi 13 janvier 2010
On a beaucoup parlé de la conférence de Copenhague. Les engagements concrets sur la réduction de gaz à effets de serre ne sont peut-être pas à la hauteur des attentes, mais il y a quand même une prise de conscience générale des risques que nous encourons si nous ne réagissons pas.
Les problèmes de taille et de croissance de la population humaine sont tout aussi cruciaux vis-à-vis de la crise écologique à laquelle nous devrons faire face mais de ceux-là personne n’ose en débattre.
J’ai participé en février 2009 à une action d’interpellation des médias (à lire ici), entreprise par des scientifiques de plus de 25 pays, leur suppliant de faire cesser le tabou qui règne sur ce sujet. Les résultats de l’action ont permis quelques progrès mais ils sont encore bien insuffisants.
En février 2010, cette action va être reprise et élargie. De nouvelles personnalités se sont déjà inscrites et le mouvement sera coordonné par l’Institut des Populations de Washington. Je serai partie prenante de cette action.
Vous pouvez, d’ores et déjà, consulter le site : http://gpso.wordpress.com/
Les questions environnementales vous intéressent-elles ? Vous pouvez enrichir vos connaissances et acquérir une vision globale de ces problèmes en lisant mon dernier livre : « Environnement, l’Hypothèque Démographique ».
1 commentaire:
La surpopulation est un problème majeur, si ce n'est le problème majeur, mais personne ne veut en entendre parler car il n'y a que la croissance qui compte, peu importe le reste. Les dirigeant de ce monde ne voient que des consommateurs, des clients en puissance, si sur 10 nouveaux humains il y a un consommateur et 9 autres qui ne feront que survivre, c'est ce consommateur en plus qui les intéresse rien de plus. C'est notre système économique qui veut cela et cela sera très dur d'inverser cette tendance.
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