Lundi 12 février 2007
Pour rompre cette monotonie minérale, l’homme essaie d’inclure dans la ville des espaces où il va se ressourcer. N’aurait-il pas un besoin inconscient du décor originel ?
Qu’il s’agisse de parcs, zoos, coulées vertes, il n’y a là qu’ersatz de la vraie nature et s’ils sont utiles à l’homme, ils ne préservent en rien le reste du monde vivant. Leur potentiel est limité, sous contrôle, la pression humaine y est continue. Ces espaces témoignent, eux aussi, de la mainmise de l’homme sur le monde vivant.
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